Pour vivre dans le bien-être, il est nécessaire d'enlever le mal-être (qui sont essentiellement des blocages liés à la peur et à la culpabilité).
Pourquoi enlever et comment enlever le mal-être ?
Attention : il s'agit ici, juste d'un point de vue qui me parle. (aux 2 sens des mots "point de vue" : le lieu d’où l'on regarde et l'absence de vision...)
Mieux comprendre notre cerveau est tiré du livre : "Vaincre peur et culpabilité" de Bernard Sensfelder.
Comprendre le mal-être - Les bases
Ex. : dans un embouteillage, il est assez courant d'être énervé... Or, on ne décide pas de s’énerver, on est envahit par l'énervement, on subit ce qui ce passe en soi et on fait avec… Donc l'idée que nous sommes ce que pense notre cerveau n'est pas exact. Il y a moi et il y a mon cerveau. Nous ne sommes pas notre cerveau !
Quelques explications biologiques :
Notre cerveau fonctionne à l’économie, afin de dépenser le moins d'énergie possible. Pour faire cela, il va privilégier les chemins les plus courts pour transmettre les informations.
Lorsque il n'y a pas de perturbation de ce chemin, émotionnellement nous sommes dans la sérénité, nous sommes posé, dans le présent.
Le cerveau étant un organe, comme l'estomac par exemple, on ne remarque qu'il est là que quand il y a un dysfonctionnement, des perturbations.
Et quand il y a des perturbations, c'est qu'il il y a une dérivation de l'influx nerveux, avec pour conséquences : de l'énervement, de l'angoisse, bref du mal-être...
Le cerveau réagit à l'arrivée des informations
Nos sens captent les informations et celles-ci sont transmises au cerveau par impulsions électro-chimiques par nos nerfs (comme des câbles électriques) vers un centre de tri : le thallamus (lui-même soumis aux autres zones du cerveau : l'amygdale et l'hippocampe).
Petite synthèse de ce qui précède :
l'information, n'est pas perturbée : elle suit le chemin le plus court,
l'information peut être bloquée,
l'information peut être dérivée.
Donc, si tout va bien, l'information suit le chemin le plus court en direct avec le néo-cortex. Il s'ensuit un décodage dans l'aire visuelle, l'aire auditive, etc…
Ex.: prenons l'image d'un objet : celui-ci envoie une fréquence liée à la lumière émise. Celle-ci créé une impulsion électro-chimique, qui se transmet par le nerf optique, directement vers le néo-cortex et son aire visuelle. L'image qui s'y créé est donc une interprétation du monde selon notre propre point de vue, et qui est donc forcément différente selon les personnes…
On peut donc dire que lorsque l'on ne se rend pas compte que notre cerveau fonctionne, c'est que nous sommes dans l'instant présent. Par contre, si l'on se rend compte que l’on va bien, c'est déjà que l'on compare et donc que l'on peut encore aller mieux. En effet, lorsque tout va bien, les comparaisons disparaissent.
Tout ceci est donc très biologique, complètement prouvable par les trajets identifiés par les IRM et autres scanners.
Nous ne sommes donc pas de «pures esprits»... Désolé !
Donc, si nous ressentons un certain énervement (ou de l'angoisse, du délire, etc….), c'est qu'il y a une perturbation sur le chemin de l'influx nerveux, le courant est donc dévié. Cela constitue la conséquence liée à cette perturbation et non la cause de celle-ci.
Je subis donc les réactions qui sont déclenchées par mon cerveau !
Notre cerveau traite ainsi les informations, mais il peut également envoyer des signaux de danger, de peurs ou de culpabilité...
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